Elections municipales et communautaires 15 et 22 mars 2026

Non au déclin !

Vous me le dites à l’occasion de chacun de nos échanges : « Il faut que ça change ! » 

Chères amies blancoises, chers amis blancois,

En 2020, celles et ceux qui allaient constituer l’actuelle municipalité dénonçaient déjà : « Le Blanc se meurt », tout en promettant le redressement de notre ville. Cinq ans plus tard, votre déception est à la mesure des espoirs qu’ils avaient suscités.

Notre cité a vu s’accélérer sa chute démographique et est désormais passée sous la barre des 6 000 habitants. Le taux de chômage y est supérieur de 40 % à celui de la moyenne nationale. L’activité commerciale est en berne, la ville haute se trouve en déshérence. Plus grave encore, quelle sous-préfecture ne peut offrir au public un équipement de base tel qu’une piscine ? Et quelle capitale de Parc naturel régional ne peut proposer le moindre hébergement hôtelier ?

Comme vous l’avez peut-être lu dans la presse, c’est ce triste constat qui m’a décidé à vous soumettre ma candidature à la mairie du Blanc. Dans la situation qui est la nôtre, notre ville a besoin de compétence, de détermination et d’autorité.

Vingt-neuf années d’exercice de fonctions de direction, de réalisation d’audits et de missions de conseil au sein de la fonction publique territoriale attestent de ma grande expérience du fonctionnement des collectivités.

Durant toute ma vie professionnelle, et à partir de 2001 dans le département de l’Indre, j’ai pris le risque de lutter contre les dérives bureaucratiques et les abus de toutes sortes, qui nuisent à l’efficacité du service public et trahissent la confiance des contribuables.

C’est ce même engagement qui, en novembre 2018, m’a conduit à me solidariser avec la révolte des territoires ruraux méprisés et des classes moyennes lassées d’être les vaches à lait des gouvernements successifs.

À l’époque, j’étais omniprésent dans les médias pour y défendre les aspirations populaires ; j’ai conservé de cette période de nombreux contacts dans les milieux du journalisme, de la culture et de l’entreprise que je ne manquerai pas de réactiver pour promouvoir notre ville.

JEAN-FRANÇOIS BARNABA

5 décembre – Journée nationale d’Hommage

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